Le Monde de Serayane
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Le Monde de Serayane

Dans le monde fantastique et magique de Serayane rejoignez nos guildes, et faites preuve de talent, d'ingéniosité, de combativité, pour renverser le pouvoir instauré par Eldior, ou pour vous allier à lui et diriger à ses côtés.
 
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 Sujet un, mascarade...

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Jillian

Jillian


Féminin Nombre de messages : 11
Age : 34
Localisation : Penchée sur ton cadavre...
Race : Humaine.
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Familier : Une louve blanche.
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MessageSujet: Sujet un, mascarade...   Sujet un, mascarade... Icon_minitimeSam 21 Fév - 19:06

Après une de ses habituelles courtes nuits blanches, notre jeune Jillian venait de se réveiller doucement. Elle n'avait pas cauchemardé, pour une fois ; elle avait dormi tout d'une traite et son corps fatigué ne l'était plus. Elle ouvrit doucement ses grands yeux impitoyables, lentement, laissant la douce lumière ardente du soleil lui emplir le regard, ou plutôt, lui brûler les nerfs optiques. Cette luminosité ardente lui brûlait le visage. Et au bout d'un court instant, ses yeux rouges tout pleins de sommeil se dilatèrent lentement. Et, chose rarissime, elle n'avait pas envie de se lever. Mais alors pas du tout. Elle voulait absolument trainasser. Et elle n'avait pas envie de se lever pour le moment, du moins. Elle bailla longuement, sans mettre la main devant sa bouche, pendant qu'elle regardait la ville du haut de ses gratte - ciel. Elle s'étira longuement. Ses fines articulations produirent des sons de craquements insuportables. Jillian, elle, elle aimait ça. Et entendre le doux bruit de ses os qui craquent, ça la détendait. Et puis, elle souleva ses draps. Elle bondit vivement hors de son lit, et, posant immédiatement ses petits pieds froids sur ses chaussons rouges. Ils étaient dans un état lamentable, les chaussons. Il fallait qu'elle aille en racheter. Elle traina des pieds jusqu'à sa salle de bains. Elle regarda vite l'état de la peau de son visage. Il était relativement correct. Elle fit couler de l'eau - glaciale - pour en asperger ses joues. Elle avait toujours chaud, la nuit. Elle se laissait constemment aller à son don, mais elle ne pouvait pas se contrôler. Alors, le matin, elle refroidissait sa température corporelle avec de l'eau. Et en plus, ce procédé la revigorait. Elle attrapa une petite serviette de toilette qu'elle se jeta sur la figure, pour absorber l'eau de trop qui restait. Elle partit se changer. Elle remplaça son tee - shirt de pyjama ( avec des vaches imprimmées dessus, uhuh ) trop grand, par son habituelle armure. Jillian attacha ses sangles une par une, dans un ordre douteux. D'abord les jambes, ensuite les bras, et enfin les chevilles. Elle les serrait trop, encore, comme toujours. Les mailles produisirent un bruissement métallique qui lui donna la chair de poule. Elle enfila ses bottes et retourna dans sa salle - de - bains. Ses cheveux étaient en bataille. Pour les recoiffer, elle passa sa main dans sa longue tignasse rouge et se l'ébourrifa. Enfin, elle retourna près de sa table de chevet et attrapa sa croix. Elle la laissa pendouiller au bout de la chaîne, tenue par le bout de ses doigts. Jillian la regardait avec une sorte de passion dans le regard. Cette croix avait vu couler tellement de sang... Et puis, quelque part, en elle, il y eut un signal. Une sorte de "maintenant!" inattendu qui la reboosta un maximum. Elle fit passer la chaîne dorée autour de son cou fin ( couffin, uhuh ) et partit du pas vivace de celui qui ignore où il va et pourquoi, mais qui y va quand même. Qu'est - ce qu'elle allait faire aujourd'hui? Elle claqua sa porte et descendit au pas de course les nombreuses marches des escaliers de bois. C'étaient des petits escaliers pas très solides, qui tremblaient dès qu'une petite secousse se présentait. Jillian, ça l'amusait, de faire trembler les planches mal clouées entre elles. Quitte, un jour à devoir le réparer elle même. Alors, elle passa quelques minutes à le faire trembler. Ce serait toujours ça de pris sur la longue et interminable journée qui commençait. Alors qu'elle s'amusait - comme une gamine de six ans - le gardien de l'immeuble se pointa. Il tenait une feuille de papier blanc d'une main, et s'appuyait à la rampe branlante de l'autre. Lorsqu'il la vit, il commença à pester. Il disait qu'elle ferait mieux d'arrêter, parce que sinon, il pourrait convoquer un conseil d'administration pour la faire virer. Jillian soupira et se calma. Elle ne lui répondit rien, et elle alla même jusqu'à se pousser ( en fait, elle s'écrasa le plus possible contre la rambarde ) pour lui laisser la place de passer. Elle imaginait ce que ça ferait, de se retrouver Mercenaire Sans Domicile Fixe. Elle jugea que ça devait être marrant, mais elle n'avait pas pour autant envie d'essayer. Elle descendit les deux étages qui lui restait et bondit sur le sol carrelé du couloir. Elle passa devant l'appartement du concierge, en se demandant comment il réagirait si elle lui faisait cramer son lit. Il ne saurait jamais que c'était de sa part, à elle. Elle sortit à l'air libre. Un courrant d'air frais l'accueillit. Elle huma l'air avec délice. Elle aimait l'air frais, ça jouait avec ses cheveux. Elle leva les yeux vers le ciel. Il faisait beau, mais frais, une journée idéale pour être dehors mais faire du sport. Elle se demandait ce qui allait se passer aujourd'hui. Aujourd'hui, elle n'avait pas envie de courir, mais elle savait qu'elle finirait quand même par le faire. Elle ne trouvait jamais d'occupations assez captivantes pour l'occuper toute une matinée. Et d'ailleurs, elle ne savait même pas quelle heure il était. Elle ouvrit une des poches du haut de son armure et elle y glissa sa main gantée. Elle attrapa sa montre à gousset qu'elle ouvrit d'un éternel geste d'habituée de l'ennui. Les aiguilles de la montre lui disaient qu'il n'était que neuf heures moins le quart. La journée était plus commencée que d'habitude. C'était bien ça. Avec un peu de chance, elle aurait moins le temps de ne pas savoir quoi faire. Elle se mit à marcher, elle regardait les commerces. Les gens, des hommes pour la plupart, s'inclinaient, des fois en ôtant leurs chapeaux. Elle les méprisait, ne leur accordant aucun regard. Elle ne s'arreta même pas pour regarder l'armurie. D'habitude elle le faisait, quand elle ne savait pas quoi faire, mais elle y était déjà allée la veille, et elle savait que le prochain arrivage ne se passerait pas avant quelques jours. Elle soupira encore. Elle longea les jardins fleuris, se disant que c'était parfaitement débile de faire pousser des plantes uniquement pour faire joli. Mais hélas, elle se rendait bien compte que la plupart des gens étaient des débiles qui s'extasaient devant des petites fleu - fleurs. Elle finit de marcher dans cette allée "fleurie" - qui était en réalité une simple rue avec quelques plants de fleurs et des jets d'eau à profusion - pour aller au début de son parcours de course. Elle commença à trotiner et se lança à son vrai rythme. Elle fit les deux tiers du chemin qu'elle parcourait tous les jours et elle s'engoufra dans la petite forêt d'Archwood. Elle s'enfonça dedans, en suivant bien sagement le mince sentier qui la traversait. Soudain, elle entendit du bruit derrière. Mais n'ayant pas le temps de se retourner, elle vit cinq hommes devant. Elle était rentrée dans une petite clairière, et la lumière du soleil qui tapait contre l'herbe la rendit aveugle pendant une courte seconde. Et elle distinga mieux la scène. Derrière elle, une branche se brisa. Elle fit volte - face. Derrière, deux brigands marchaient. Ils s'arrêtèrent quand ils virent que Jillian ne bougeait pas. Et ce qui semblait être le chef de cette mascarade s'agita. Jillian plantait son regard dans celui de cet énergumène. Il était grand, baraqué, avec des muscles qui ressortaient trop. Il avait la peau très bronzée, presque noire. Ses yeux étaient mauvais, méchants, et pourtant, il n'arrivait pas à leur donner du sérieux. Il était chauve, avec de nombreuses cicatrices sur tout le corps. Il était torse - nu, ce qui ne l'avantageait pas vraiment, sur le point beauté... À force de le fixer, Jillian pût même remarquer qu'il avait une boucle d'oreille à droite. C'était une vilaine reproduction d'un diamant. C'était trop gros pour son oreille, en somme, c'était très laid. Mais peut - être que la force de ce gaillard était inversement proportionnelle à sa beauté... Il ouvrit la bouche et sa voix rauque s'éleva dans l'air. Sa voix était aussi ridicule que son équipe.
- V'voyez, pour la joli' donzel' qui s'promèn' seul'... Ou el' poz' ses bijoux et son or, et on lui f'ra pas d'mal... Ou el' s'bat seul' contr' sept...
Elle le regarda longuement, interloquée. Elle n'était pas sûre d'avoir bien entendu, bien compris ce que disait l'autre débile. Comme ça, il voulait se battre?... Se battre contre elle?! C'était ça, hein? C'était pas un délire?... Ah! ah! ah! Elle riait intérieurement. C'était risible, affligeant, tentant aussi... Elle le regarda mieux, pour essayer de déceler l'ironie, la nuance, le truc qu'il cachait derrière sa phrase. Mais elle ne trouvait rien. Et, au vu de l'air supérieur qu'il prenait, elle se rendait compte qu'il voulait vraiment se frotter à elle... Très bien. Un grand sourire lui éclaira alors le visage. Un sourire mauvais, méchant, sadique, comme les seuls qu'elle était capable de faire... Quelque chose d'inquiétant, de très inquiétant se mit à briller dans ses yeux. Et... Aurions - nous des hallucinations, si on se disait qu'ils devînrent plus rouges? Plus ardents... Elle tira sa fine épée dans un frottement strident et elle s'avança de quelques pas audacieux. Les quatre brigants qu'elle n'avait pas encore regardé prirent leurs jambes à leur cou. Ils ne devaient pas avoir l'habitude de devoir se battre. Il ne devaient même pas savoir manier leurs armes. Et pourtant, certains d'entre eux avaient vraiment de quoi faire mal. Des haches, des épées, des poignards, il y en avait même un qui avait une griffe. Elle aimait bien les griffes. C'étaient des armes bien tranchantes, qui ne se voyaient pas. Enfin, on ne les voyait qu'à l'instant où elle nous transperçaient... Elle entendit de nouveau du bruit derrière. Elle s'attendait à devoir parer des attaques violentes, mais en réalité, le son, c'était les deux autres qui se faisaient la malle par derrière. Le chef était seul, donc. Et de toute façon, à une contre sept, ce n'était pas un combat à armes égales. Ils n'avaient aucune chance. Ils n'auraient pas pu l'attaquer à plus de trois ou quatre à la fois, et elle avait été dressée pour tuer cinq hommes en même temps, avec une poignée de feuilles mortes... ( uh uh Vive Kaamelott. ) Elle s'avança encore de quelques pas vers le seul qui été resté. Il begayait des sons qu'elle ne parvenait pas à comprendre. Etait - elle si terrifiante que ça? L'autre se cramponnait à sa hache. Il tremblait un peu. Et d'ailleurs, il la tenait mal. Alors, elle le regarda de haut, elle se mit à le mépriser de tout son être. Elle le jugeait assez débile, assez incompétent pour utiliser une arme qu'il n'avait jamais appris à manier. Et encore pire, il avait certainement acheté une arme qu'il n'avait jamais su tenir correctement. L'armurier avait joué à l'enfoiré, apparemment. Jillian eut envie d'aller lui faire un bisou, subitement. Mais elle oublia cette pensée bien vite. L'homme - toujours convulsionné par des spasmes - s'avança à son tour d'un pas dans la clairière. Elle put remarquer à cette occasion que cet homme avait la peau bronzée, certes, mais il était surtout sale. Ca devait faire un moment qu'il n'avait croisé personne, et encore plus longtemps qu'il n'avait pas pris une douche... Elle se mit en mouvement. Lentement, tout petits pas par tout petits pas, elle se mit à marcher sur la gauche. Lui, il fit pareil, pour ne pas la laisser s'approcher, mais vers la droite. Alors, ils firent un cercle avec leurs pas. Elle aimait bien faire ça. La plupart du temps, ça angoissait les gens. Lui, il en devenait carrément spasmophile. Hé hé, encore mieux. Ses camarades devaient être loin maintenant. Il n'avait plus aucune chance, plus aucun échapatoire. Elle l'observait calmement, restant totalement vide de tout sentiment. Elle attendait un mouvement brusque, une faille ( même si ça ne manquait pas, les failles ) dans le jeu de jambes de son partenaire. elle trouvait ça débile de se retrouver blessée face à un être aussi minable combattant que lui. Et puis, l'homme - qui devait avoir la quarantaine - marcha sur une branche qui trainait par là. ( Dans une forêt, ça vous parait pas logique? uh uh ) Il trébucha. Et comme la grande majorité des humains en train de se casser la gueule, il leva les bras pour rééquilibrer son poids et éviter de trop se faire mal en se viandant. Jillian, elle n'attendait que ça. Non seulement il ne faisait plus attention à ses mouvements à elle, mais en plus, il avait perdu le peu de garde qui lui restait. Les bras en l'air, elle pouvait l'ouvrir en deux au niveau de la poitrine. C'est ce qu'elle voulut faire. Elle n'y parvint pas. Elle lança son bras. C'était absolument imparable... Elle avait eu un mouvement parfait. Calme, mesuré, léger. Elle avait vu où elle voulait taper, et elle allait taper pile à cet endroit. Seulement, les lois de la physique sont bien cruelles pour une tueuse dans le genre de Jillian. Elle voulait taper la poitrine. Elle voulait lui découper les pectoraux... Mais la bonne vieille loi de la pomme qui tombe avait décidé de ramener sa fraise. Donc, quand la lame de la Mercenaire pénetra la chair du pauvre brigand, il était tombé d'une dizaine de centimètres. Sous le choc, les cervicales ne résistèrent pas. Elles craquèrent. La chair fut tranchée net. Le sang gicla, elle en fut éclaboussée. Il était chaud, un peu acide. Elle eut alors le réflexe humain de fermer les yeux, pour ne pas avoir des jets de sang dedans. Jillian entendit le corps tomber lourdement sur le sol. Elle laissa passer une dizaine de secondes, puis elle rouvrit les yeux. Le cadavre était bel et bien là. Vautré lamentablement devant elle. Mais... Mais il manquait quelque chose. Elle mit quelques secondes à trouver de quoi il s'agissait. Il manquait la tête de l'homme. Elle regarda autour d'elle. Et puis, les traces de sang lui indiquèrent la direction qu'avait pris la tête. Elle avait été propulsée une petite dizaine de mètres plus loin sur le chemin de terre. Elle nettoya sa lame en la frottant sur les vêtements de l'homme décédé.
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MessageSujet: Re: Sujet un, mascarade...   Sujet un, mascarade... Icon_minitimeSam 21 Fév - 19:07

Et puis, elle repartit, comme si de rien n'était. Elle finit de traverser la forêt et elle arriva sur l'esplanade de Louelm. L'esplanade de Louelm, c'était une espèce de colline qui surplombait Mistria. C'était haut, dangereux, souvent fréquenté et il y avait une vue magnifique. Mais franchement, Jillian, la vue... Euh... Elle en avait rien à carer. C'était surtout à cet endroit que la plupart des mariages importants avaient lieu. Jillian fuyait les mariages comme les Humains fuient la peste noire... Jillian n'avait jamais vraiment été spécialement branchée amour. Non pas qu'elle soit contre, elle en avait juste rien à foutre. Mais alors, rien de rien. Et aujourd'hui, elle avait de la chance, il n'y avait pas de mariage. Tout ce qu'elle vit, c'était cinq Mercenaires qui paraissaient l'attendre. Depuis combien de temps poireautaient - ils? Ils étaient à moitié assis sur la rambarde. Car oui, il y avait une rambarde en marbe blanc pour empêcher les débiles un peu trop curieux de tomber. Jillian, elle était contre, la présence de la rambarde. Elle jugeait que si un débile devait tomber, ça en ferait un de moins. Elle remarqua alors, qu'il y en avait carrément un qui était allongé sur la barrière en pierre. Lorsqu'ils la virent, ils se levèrent. Un des hommes donna un petit coup de poing à celui qui dormait. L'autre se leva d'un bond. Les Mercenaires étaient à une cinquantaine de mètres de Jillian. Elle put voir qu'ils étaient tous là. Et soudain, celle avec qui elle s'entendait le mieux s'élança. Les autres la suivirent, avec quelques mètres de retard. Elle arriva bientôt aux côtés de sa patronne. Le visage angelique de cette femme - qui devait avoir vingt -cinq ans - se décomposa alors.
- Ji... Jillian! Ca va!? Tu as du sang partout!
La Jillian ensanglantée eut l'air interloqué, encore. Elle se regarda, se demandant ce qu'elle voulait dire par "du sang partout". Sa "copine" passa délicatement son index sur la peau d'une couleur désormais sangine de sa chef Mercenaire et lui montra le sang encore très fluide. Elle paraissait vraiment très inquiète pour sa patronne. Preuve qu'elle ne comptait pas s'en prendre à sa place. Personne n'avait jamais voulu être le chef des autres. Jillian avait été nominée contre son gré. Considérée comme la plus efficace, c'était surtout la meilleure en terme de tactique et d'infiltration. Il y en avait même un qui était un ex - magicien. Chacun avait son point fort... Les autres arrivèrent aussi. Ils la regardèrent avec attention, comme si elle allait s'éffondrer dans les vappes à un moment ou à un autre. Ils devaient s'imaginer qu'elle était gravement blessée, et qu'elle se vidait de son sang... C'était débile, la connaissant. Débile mais tellement gentil. Et elle ne connaissait pas vraiment la gentillesse. Jillian répliqua, la voix aussi morne, calme, vide, posée que d'habitude. Ils furent complètement abrutis lorsqu'ils entendirent ce qu'elle avait a dire.
- Ca va. C'est pas le mien...
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MessageSujet: Re: Sujet un, mascarade...   Sujet un, mascarade... Icon_minitimeDim 22 Fév - 14:49

nickel, rien à dire, même les détails sanglants sont agréables à lire (de mon point de vue...), tu a mon autorisation pour poster tout partout... et je verrouille le sujet, si t'as envie de modifié un truc (ça peut arrivé...), Mp...
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MessageSujet: Re: Sujet un, mascarade...   Sujet un, mascarade... Icon_minitime

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